Sorcières, de Mona Chollet – les livres féministes #12

sorcières-mona-chollet-coverTiens, ça faisait longtemps que je n’avais pas sorti un article de cette série ! Et je pense que beaucoup d’entre vous ont entendu parler de la sortie de ce livre le mois dernier. Ayant beaucoup apprécié Beauté Fatale et Chez soi de la même autrice, je ne pouvais décemment pas louper celui-là. Après, pour le bien de mon porte-monnaie, je n’étais pas obligée de l’acheter aussi tôt, certes. (mais il a quand même failli bouter le nouveau livre d’Eric Zemmour de la première place des ventes, et ça, ça n’a pas de prix)

Comme vous vous en doutez, on va parler de sorcières… mais peut-être pas tout à fait de la manière que vous vous imaginez. En effet, l’autrice nous présentera un historique concis de l’image des sorcières qu’on a dans notre culture, mais aussi dans celles d’avant… qui était peu reluisante, il faut bien le dire. Elle prend d’ailleurs un exemple qui me parle, vu que ce personnage me terrifiait quand j’étais enfant, il s’agit… de la sorcière dans Blanche-Neige.

Elle va aussi mentionner d’autres exemples, mais on ne va pas s’appesantir là-dessus. Elle parlera aussi des fameuses chasses aux sorcières, qui ne sont pas forcément celles qu’on s’imagine. On pense à la magie, à l’herboristerie, etc, quand on pense aux sorcières. Il ne sera pas question de celles-là dans ce livre. Non, c’est beaucoup plus compliqué que cela.

On va donc quand même parler des chasses aux sorcières (celles qui ont causé la mort de dizaines de milliers de morts en Europe à partir du 16ème siècle). Lesquelles alors ? Les sorcières en question sont… des femmes. C’est pas très clair, une précision peut-être ? En effet, il ne s’agit pas de n’importe quelles femmes : les conformistes, aucun problème, malgré la peur qui devait dévorer leur estomac assez régulièrement, elles s’en sont sorties. Par contre, celles qui ont fait preuve d’une certaine autonomie, elles ont pris cher. L’autrice va donc parler des femmes célibataires, des femmes sans enfants ainsi que des femmes âgées, dans trois parties qui détaillent ces cas (dont je fais d’ailleurs partie sur au moins deux éléments, ravie d’apprendre qu’on m’aurait torturée, violée et tuée à l’époque).

Mais Mona Chollet rappelle certaines choses avant tout. Dans son introduction, il sera question de récapituler ce qu’a été cette chasse aux sorcières, quelle période de l’histoire elle a réellement couvert (le Moyen-Âge, c’était pas si mal en fait, alors que la Renaissance, c’était clairement caca), l’origine de cette persécution (ne croyez pas qu’il n’y ait que les religieux pour nous faire chier, bien au contraire !) et comment cette chasse aux sorcière était profondément misogyne. Celle-ci s’est stoppée simplement parce qu’on a trouvé le moyen de brider l’autonomie des femmes sans les massacrer. Après tout, pourquoi se donner du mal si de simples consignes, une certaine pression quotidienne et une éducation dans le sens d’une restriction de leurs libertés peuvent amener les femmes à obéir et à correspondre à ce qu’on attend d’elles ? Avouez que c’est ingénieux.

Mais sachez qu’il suffisait souvent d’être juste une femme pour faire de vous un suspect et être considérée comme une sorcière, un être malfaisant à faire disparaitre. Mais si on va au-delà du délire de l’époque, on se rend surtout compte que cette chasse aux sorcières était une guerre contre les femmes en général.

Dans la première partie qui suit cette introduction, on finit par entrer dans le vif du sujet, c’est-à-dire que l’autrice commence avec les femmes célibataires et qui l’assument (et parfois, le revendiquent). Ces femmes indépendantes font peur : les réactionnaires n’aiment pas du tout qu’elles puissent l’être. Bien sûr, pour empêcher le plus de femmes possibles d’épouser l’indépendance plutôt qu’un mari, il a fallu compter sur les médias (qui sont souvent plus idéologues que transmetteurs d’informations objectives comme ils essaient de nous le faire croire), sur toute une mystique de l’image : ça a commencé avec le diable qui pervertit donc les femmes (voire elles sont le diable elles-mêmes !) et par la suite, c’est devenu plus insidieux. Dans les livres, les films, etc, on diabolise la femme célibataire qui, dans le fond, ne souhaiterait que ça, se marier à un homme qui saura la protéger des dangers extérieurs mais pas de lui-même.

L’image des femmes célibataires va être dénigrée bon train. On passe pour des malheureuses, des futures vieilles peaux dont le seul compagnon sera un chat (animal de compagnie qui, dans l’imaginaire de tous, est aussi celui de la sorcière !), bref, des personnes très peu fréquentables.

Dans la deuxième partie, celle qui m’a le plus parlé, on y parle des femmes sans enfant. Scandale ! La femme est faite pour enfanter, c’est sa nature. C’est là qu’on voit une grosse régression : il y a plusieurs siècles, on nous foutait (presque) la paix. Mais c’était trop beau : les femmes ont toujours été discriminées, mais probablement pas assez aux yeux de certains. Je les imagine assez bien se dire qu’ils n’ont pas assez exploité le filon…

Elle énumère les raisons d’un tel contrôle, et rappelle que les femmes qui ne veulent pas d’enfant ne le souhaitent pas pour les mêmes raisons.

Je suis presque effrayée de constater à quel point, chez moi aussi, alors que je crois être une personne plutôt gentille et placide, la question de la procréation et des raisons pour lesquelles je la refuse fait très vite affluer une colère énorme – et revoilà la colère… La réticence à faire des enfants peut être une manière de tenir la société responsable de ses manquements et de ses échecs, de refuser de passer l’éponge, de décréter qu’il n’y aura pas d’arrangement, ce qui explique sans doute le malaise suscité chez les autres. Mais ce « non » est l’envers d’un « oui » : il découle de l’idée que l’aventure humaine aurait pu tellement mieux tourner, d’une révolte contre ce que nous faisons de la vie et du monde.

Bon, je vais faire effondrer la petite pyramide de réflexion et de compréhension qui s’est bâtie dans votre cerveau : si je ne veux pas de gosses, c’est parce que je fais partie des méchantes pas belles qui n’aiment pas les enfants. (je vous vois déjà décrocher le téléphone pour contacter l’asile le plus proche) J’ai mes raisons et je n’ai pas à me justifier. Paradoxalement, je m’entends bien avec les enfants (sauf ceux qui me reprochent de ne pas être une « vraie » adulte et essaient d’en profiter). Et c’est peut-être justement parce que, comme certains me le font remarquer, je ne suis pas une adulte au sens où on l’entend. Ça doit en rassurer certains, je pense… Il y a aussi le fait que je ne me sens pas psychologiquement capable de m’en occuper, mais on n’est pas là pour faire une psychanalyse.

Donc, il y a diverses raisons de ne pas vouloir des enfants. Mais concrètement, la société s’en fout. Ne pas vouloir d’enfant, c’est non seulement ne pas participer à la vie de société, mais en plus, on va considérer que t’as une vie de merde, que c’est un non-choix dans le fond. Là encore, tout un imaginaire bien péjoratif intervient pour remettre les femmes dans le droit chemin. On nous met la pression pour en avoir et quand arrive l’âge où on ne peut plus en avoir, les gens passent leur temps à vous demander si vous ne regrettez pas, ou pire, à vous assurer que vous le regrettez en dépit de vos réponses négatives. (sachant que quand on est jeunes, on vous secoue le spectre du regret par la figure, histoire qu’on s’y mette)

Donc, ce désir d’enfant serait inné et ne pas en vouloir est quelque part une hérésie. Ne souhaitant pas d’enfants, j’en ai entendu des vertes et des pas mûres.

Si ce passage a eu forcément un écho en moi, la troisième partie était finalement la plus intéressante : celle sur les femmes âgées. Celles qu’on est toutes destinées à devenir, malgré les nombreuses solutions qui nous sont offertes pour le dissimuler à la face du monde. Botox, chirurgie esthétique… Être âgé, c’est une honte. Attention, c’est plutôt : être une femme âgée est une honte. Les hommes, ça va. C’est même sexy pour certains, ça leur apporte une maturité et une expérience séduisantes. Eux, ils vieillissent bien. Tiens donc, n’y aurait-il pas du sexisme dans l’air ?

On le sait, mais sans forcément mettre un doigt bien franc dessus, que les corps des femmes, une fois qu’ils portent les traces de l’âge passé, sont détestés, méprisés, que les hommes les trouvent dégoûtants. C’est inconscient, on en parle peu, voire pas du tout, mais on le sait. A nous aussi, les femmes, on nous apprend le dégoût de nos corps – jeunes d’abord, pour les modeler le plus parfaitement possible – et à le craindre d’autant plus lorsque celui-ci vieillit. En tant que femme, on a bien intégré l’idée et juste assumer ses cheveux blancs devient un acte militant.

Tout le long de cet admirable essai, Mona Chollet va tout nous expliquer sur un ton que j’ai toujours trouvé accessible depuis Beauté Fatale. Elle saura marquer son argumentaire de points crédibles et réels (quand on est une femme, difficile de ne pas s’y retrouver, même un tout petit peu) avec le soutien d’exemples, de faits réjouissants et consternants et aussi des exemples de femmes inspirantes (Sophie Fontanel, Gloria Steinem…) qui ne répondent pas à ces pressions et sont indépendantes à leur manière – et heureuses !

Il est clair, et l’autrice le démontre ici, que les femmes sont des êtres à part, subissant une discrimination sur plusieurs plans. Celle-ci va se trouver active à toutes les époques, mais sous des formes différentes, bien que l’essence de la discrimination soit la même, le but étant le contrôle strict (sans en avoir l’air ou complètement assumé) des femmes, de leurs esprits et de leurs corps. Sa conclusion est absolument géniale (vous ne vous attendiez pas à trouver le sujet de la médecine abordé dans ce livre ? Si vous saviez !) et ça donne envie de soulever le monde. Elle rappelle aussi que tout ceci est une histoire de genre et que le genre féminin n’est pas le seul qui va devoir se bouger… le genre masculin aussi ! Eux aussi ont besoin d’une petite révolution, et je ne parle pas qu’au profit des femmes, mais aussi à leur bénéfice à eux. La société aussi a besoin d’un petit lifting : le « culte de la rationalité » comme elle le dit si bien fait lui aussi des ravages à ce niveau-là, et pas que…

Bien évidemment, je ne vous ai pas détaillé les trois parties principales de ce livre, ça reste très en surface et vous pourrez admirer son sens du détail et de la synthèse combinés : vous allez apprendre une foule de choses, et ça restera dans un style abordable et clairvoyant. Un essai que j’ai adoré, que j’ai dévoré et que je vous conseille amplement !

Edit : J’ai des réflexions sur ce livre dans cet article.

23 réflexions sur “Sorcières, de Mona Chollet – les livres féministes #12

    • Il sera peut-être plus complet ton autre essai sur cette période. Celui-ci explique certaines choses, tout en le mettant en parallèle avec notre société contemporaine, ou l’évolution de telle mentalité tout le long des siècles (« évolution », lol) Les deux peuvent être complémentaires, je n’en sais rien, ça peut être chouette !

      J’aime

  1. Je vois ce livre partouuuut en ce moment x) Au point que je ne sais plus si je veux le lire ou non. Mais ta chronique me donne envie de le lire tout de même. Tant mieux d’ailleurs, car c’est le livre du mois sur le club de lecture de Madmoizelle !
    Et je suis aussi team sans enfant pour la vie (au point je virer cynique cruelle maintenant qu’on me dis que je devrais avoir envie d’avoir des enfants) et célibataire. Une chronique fort chouette comme d’habitude !

    Aimé par 1 personne

    • Oh, c’est vrai ! J’espère qu’il te plaira alors ! (sinon, il faut fuir toutes ces références, mais plus facile à dire qu’à faire)
      Aha, je te comprends, autant tu peux parfois garder ton calme, autant t’as envie d’être provoc de temps à autre avec certains. (qui sont eux-mêmes cyniques sans s’en rendre compte à sortir des « mais qui s’occupera de toi quand tu seras vieille ? »… Mais c’est pour ça qu’ils font des gosses, les gens ? O_o)
      Merci beaucoup :3

      J’aime

  2. Il me faut ce livre! J’étais un peu sceptique d’après le titre, mais ta critique me convainc que ça risque d’être instructif et de beaucoup me parler – en tant que monstrueux alien qui n’a aucun intérêt pour les enfants et ne voit pas pourquoi elle devrait faire semblant du contraire, et future vieille…

    Aimé par 1 personne

  3. Ah bah on a dû le lire en même temps !
    (Je ne pensais pas l’acheter de suite mais un bon d’achat en librairie et la perspective de l’aider à bouter Zemmour de la tête des ventes m’ont convaincue :p)

    Comme toi, j’ai trouvé ça passionnant, même si j’ai regretté quelques affirmations énoncées sans vraiment de sources ou d’explications et quelques conclusions un peu abruptes ou pas assez nuancées (notamment dans la partie sur les soignant·e·s).
    Mais ça reste minime et dans l’ensemble c’était passionnant, surtout la partie sur les vieilles femmes qui n’est pas vraiment abordée dans la littérature féministe !
    La partie sur les child-free était aussi fascinante (et envisageant d’avoir un jour des enfants, je trouve ça hyper important de tout de même réfléchir à ce désir).

    J’ai aussi adoré la réflexion sur les sciences dures, j’aimerais bien lire plus en profondeur sur le sujet maintenant. Bravo pour ton article en tout cas, il est clair et donne envie 🙂

    Aimé par 1 personne

    • Ah ben oui, ces deux arguments – surtout le dernier – sont très convaincants 😀

      Oui, je vois ce que tu veux dire… Y avait malheureusement des déclarations un peu péremptoires du même genre dans « Beauté Fatale » aussi. Oui, j’ai adoré la partie sur les femmes âgées, on en parle tellement peu, alors que c’est un vrai sujet féministe !
      N’envisageant pas d’avoir des enfants, cette partie m’a un peu soulagée. La Booktubeuse MargaudLiseuse l’a un peu pris mal par contre (je le sais grâce à ses stories sur Insta), il faudrait que je relise ce chapitre parc que je ne l’ai pas du tout interprété comme ça, mais en gros, l’autrice sous-entendrait que si on a des gosses, c’est pas vraiment de notre volonté et que c’est le patriarcat, blablabla. Alors que Margaud considère que c’est son souhait propre seulement.T’en penses quoi, toi qui veux des enfants ?

      Moi aussi, comme j’ai un léger penchant pour les sciences sociales… xD
      Merci beaucoup :3

      Aimé par 1 personne

      • Mmmh je ne l’ai pas ressenti comme ça (c’est dommage que Margaud en ait parlé en stories seulement, j’aurais bien aimé en savoir plus). Pour moi, ça sous-entend juste que comme c’est la norme, c’est rarement questionné et qu’il y a toute une pression sociale qui fait que certain·e·s ont des enfants alors qu’ils auraient très bien vécu de ne pas en avoir (ce qui n’a pas forcément d’incidence sur leur capacité parentale d’ailleurs).

        C’est pour ça que j’aime lire là-dessus aussi, démêler le pourquoi de ce désir : ce qu’il y a de personnel, de « viscéral », ce qu’il y a de raisonnable (tout le bonheur qu’on peut apporter à cet être et à soi même, l’envie d’être un bon parent et d’inculquer ses valeurs profondes à la génération future… ce qui pèse dans la balance face au monde pourri et la catastrophe écologique en amorce quoi) et ce qu’il y a de pression sociale.

        Et pour moi, le but c’est de supprimer la pression sociale de ma décision future, ce qui n’est pas évident vu qu’elle est partout !

        Je comprends pourquoi ça puisse être plus violent à lire quand on a déjà un enfant, mais je pense que c’est vraiment important d’en parler (surtout qu’elle nuance, ce n’est pas « bouh les parents et les enfants), surtout actuellement où on a tout intérêt à faire moins d’enfants.
        Et puis si ça donne des armes aux child-free pour qu’on arrête de les emmerder, c’est tout bénéf :p

        Aimé par 1 personne

      • Elle a dit qu’elle l’avait vraiment ressenti comme le fait que l’autrice aurait sous-entendu qu’être mère, c’était être une mauvaise féministe, alors ça m’a interrogé car je ne l’ai pas du tout lu comme ça.
        Non, effectivement, des femmes qui ne voulaient pas spécialement avoir d’enfants en ont finalement eu parce que « c’est comme ça »…

        Oui, après, tu peux profondément avoir envie d’un enfant, c’est limite instinctif. Mais des femmes ne sont pas touchées par ça (comme moi, j’ai bien dit à un moment que je voulais des enfants alors que j’en avais aucune idée quand j’étais bien plus jeune, c’est juste que comme c’était la norme…) Oui, c’est bien d’y réfléchir, je pense que c’est une décision importante. Et comme tu le dis, qu’est-ce qu’on va leur offrir comme monde ? :/

        Ah oui… Bon courage, chaque femme sait ce que c’est, cette pression. Sans vouloir être indiscrète, qu’en pense ton compagnon ? Il veut absolument un enfant ou alors il est en mode « advienne que pourra » ? x)

        J’ai vu un truc comme quoi ce serait la solution n°1 de réguler notre démographie (mais chacun mets sa solution n°1 comme il l’entend, c’est jamais la même, même si on commence bien à voir se dessiner les priorités), même moi qui ne veut pas d’enfant, ça m’a fait bizarre.
        Tout à fait o/

        Aimé par 1 personne

      • Ah non, je ne l’ai pas ressenti comme ça non plus…

        Et mon copain est plutôt sur la même longueur d’onde, il aime les enfants et aimerait en avoir un mais il est aussi en réflexion sur le sujet (en se prenant moins la tête que moi tout de même)

        Après si les écolos ne font plus du tout d’enfants et que la génération future vient principalement de climato-sceptique ou je-m’en-foutistes, est-ce une si bonne idée pour la planète ? :p

        Aimé par 1 personne

  4. Je pense que la femme dois se réapproprier cette image de la sorcière. Loin de ses grosses verrues sur des pifs disproportionnés, pour moi, la sorcière incarne la féminité à l’état originel. Cette image lui a été confisquée au profit de perfides mégères fantasmées par la religion. Les sorcières étaient des femmes savantes. Des femmes qui assumaient leurs séductions, leurs sexualités, leurs désir et leur forces. Elles aimaient leur corps et conspuaient les tabous. Elles étaient indépendantes, craintes et respectées. Nulle homme ne pouvaient les faire céder. Elles imposaient leurs autorités. L’image de la sorcière doit donc être réappropriées par le féminisme. Soyez femme, soyez sorcière !

    J’ai écris un article, une histoire traitant un peu de ce sujet. Je t’invites à y jeter un coup d’oeil et me donner ton avis en tant que femme 😉

    https://wordpress.com/view/letsrocknwrite.wordpress.com

    Aimé par 1 personne

  5. Ce livre est sur ma liste, je vais attendre que ma médiathèque se le procure. Une chronique très intéressante et al partie sur les femmes âgées tellement… vraies. Je me souviens de cette conversation qui disait que les femmes devaient trouver un mari avant la trentaine car après elle étaient pratiquement périmée… tellement sympathique. D’après les interviews que je lis de femmes célèbres, certaines se sont épanouies vers leur 40-50 ans

    Aimé par 1 personne

    • Ah mais oui, ds femmes se sentent beaucoup mieux une fois que leurs responsabilités de « femmes » ont diminué en nombre, voire disparu ! Ca pourrait intéresser grand nombre de femmes, alors je te le conseille, évidemment 😀

      Aimé par 1 personne

  6. Pingback: « Sorcières  de Mona Chollet, vu par les médias & les lectrices | «Les éditions du Faune

Répondre à Ada Annuler la réponse.