Mon évolution sur le sujet de l’écologie

Voici un sujet à ne pas prendre à la légère. Vous êtes paumés comme je l’étais au début ? Vous avez peur de faire des erreurs ? J’en ai fait, et je vais vous partager mon « expérience ».

photo article évolution écologie

La prise de conscience

Comment est-ce que ça a commencé ? Comme ça arrive très souvent : quand je ne m’y attendais pas. J’avais deux livres depuis un moment dans ma PAL sur la décroissance, ça traînait et puis un jour… je me suis décidée. Quelle claque je me suis prise !

J’étais dans un moment de ma vie très compliqué et je ne savais pas où donner de la tête sur ce sujet qui me plongeait encore plus dans le désespoir que je ne l’étais déjà. Heureusement pour moi, un livre de Cyril Dion, Petit manuel de résistance contemporaine, est sorti un mois après mes lectures sur la décroissance. Ça m’a bien aidé à mieux cerner les problèmes, ainsi que les solutions qu’on pouvait utiliser. Non, pas besoin de se flageller ! Mais de prendre ses responsabilités.

Même après ça, je n’étais pas sûre vers où j’allais me diriger. J’ai lu Drawdown de Paul Hawken et j’avais déjà des critiques à faire sur un livre qui me paraissait trop timoré, bien qu’avec de bonnes idées. Passage obligé vers la collapsologie, et donc vers Pablo Servigne et Raphaël Stevens.

Avant de les lire, j’avais déjà vu une interview de Pablo Servigne, qui m’avait terrifié, et d’autres vidéos sur la collapsologie. Je me suis procurée rapidement Comment tout peut s’effondrer et par la suite, Une autre fin du monde est possible. Je les ai adoré, bien que j’ai eu envie de chialer pendant quelques jours.

Surtout, Pablo Servigne me rassurait. Pas la peine de mentir : vous aussi (si vous voyez qui c’est), vous le trouvez doux, gentil, apaisant ! Et empathique, ce qui ne court pas les rues chez la gente masculine (déso pas déso). Forcément, je l’ai apprécié tout de suite et je buvais ses paroles. Même encore, en y repensant, sa personne m’émeut un peu.

(… oui, vous avez compris que la lune de miel s’est arrêtée, on en reparlera plus tard)

Le début des doutes

J’ai donc enchaîné avec plein de vidéos sur la collapsologie : des interviews, mais aussi des gens qui racontaient leur expérience, leur achat d’une maison à la campagne pour vivre de façon autonome… Ça me vendait du rêve !

Je me suis aussi procurée des revues hors série sur la collapsologie (coucou Socialter), je dévorais les entretiens, notait des noms de références (collapso), je voulais en savoir plus sur comment nous sortir de tout ça, ME sortir de tout ça !

… Et ça a été le début de la fin. Je me suis vite rendue compte que ma situation ne me permettrait jamais de m’en sortir, et que je n’étais pas la seule. Qu’on allait tous majoritairement crever. Et que ce n’était pas non plus une certitude que les personnes autonomes s’en sortent non plus : les circonstances font qu’ils seront attaqués en priorité pour leurs ressources, ne leur en déplaise. Je leur pique leurs légumes dans leur potager, moi, fuck la morale, il s’agit de survie, merde. J’en ai vu chouiner que ce n’était pas juste de faire ça, et alors ? Vous croyez que le monde qui peut advenir le sera pour tout le monde ? Bien sûr que non.

Là, je me suis dit qu’il y avait un problème dans ma façon de raisonner, mais encore plus dans la leur. Ça sert à quoi de faire croire qu’on peut s’en sortir positivement alors que ce sera le cas de peu de monde ? Même moi qui suis au courant de ce qu’il faut faire (de façon individuelle), je ne peux pas agir !

Le désespoir est vite revenu. Soyons honnêtes : les solutions proposées ne sont faisables que pour des privilégiés. Et je suis blanche, alors j’en suis déjà une sur certains points… mais ni sur celui du genre, ni sur celui de la classe. C’est ce dernier point qui me posait problème (mais le premier va en être un tout autant).

Et les discriminations alors ?

Vaste sujet… Je m’intéresse à ce genre de sujets depuis bien plus longtemps que l’écologie (j’ai commencé à me renseigner sur le féminisme en 2012). Le sujet de l’écologie (et de la collapsologie) m’avait fait oublier tout le reste… sauf que.

Comme je l’ai dit, le problème de classe rentre en jeu. Je suis désolée mais quand on est sans ressource, sans travail, sans ameublement, sans appartement, avec pas grand-chose, voire rien, euh… Va construire ta maison dans la campagne, ou même l’acheter (sans compter qu’il faudra forcément la retaper). Les éco-villages ? Comment on fait quand on sait qu’il faudra couper les ponts avec tout le monde parce que personne ne sera d’accord avec ton projet ? Et si ça se passe mal avec les autres habitants ? Et si tu ne sers pas à grand-chose physiquement, manuellement ? Et tes problèmes de santé ? Va-t-on accepter ton introversion ? Et si tu te fais agresser sexuellement ?

Et si tout le monde a les moyens d’aller à la campagne… Il n’y a plus de campagne ? Genre on recrée des villes là où était la campagne ? (mon cerveau a implosé, là)

Ne pensez pas que le petit monde des écolos qui se retirent de la ville soit meilleur que les autres. Souvent (très souvent), les mêmes mécanismes des oppressions se rejouent. De plus, les conséquences du changement climatique, de la diminution drastique de la biodiversité, ce ne sont pas les personnes blanches qui l’ont subi en premier, mais les personnes racisées. Normal que ça gueule de leur côté : cela fait des décennies qu’ils subissent les conséquences de nos actions, de notre système politique et économique (j’ai pas encore sorti le mot capitalisme ? Oh bah c’est fait maintenant), et maintenant que les blancs commencent à en voir les répercussions pour eux, ça y est, ils se réveillent ? Je ne les trouve pas mal placés à nous reprocher notre hypocrisie. (je suis blanche, au cas où vous ne l’auriez pas deviné)

Je sens aussi arriver (ok, je l’ai déjà vu) les reproches faits aux homosexuels comme quoi leur orientation sexuelle ne leur permet pas de faire des enfants, et donc de perpétuer l’espèce, ils sont donc inutiles et dangereux, et on devrait les forcer à l’hétérosexualité pour sauvegarder l’espèce humaine. Je me suis déjà pris cette réflexion parce que je ne veux pas d’enfants, ce qui est encore pire parce que j’en ai les capacités, c’est scandaleux blablabla… Ma réponse : allez bien vous faire cuire le cul. Et la transphobie… Vaste sujet, sur lequel je n’ose pas trop parler car je ne suis pas encore au point, mais j’en connais déjà assez pour voir que c’est le festival de l’intolérance et des conneries pour les personnes transgenres (c’est vous le scandale).

Et les personnes qui ne sont pas en capacité physique ou mentale d’agir pleinement sont mises à la trappe. Leur bien-être dépend de choses qu’un « nouveau monde », comme certains écolos l’entendent, ne peut pas leur offrir. Quand même, ça ne réfléchit pas bien chez certains. Et ça appelle à la solidarité, laissez-moi rire…

De plus, certains écolos ont tendance à vouloir mettre leur cause au-dessus de celles des autres. C’est quelque chose qu’on retrouve chez les militants de tout bord mais en particulier chez eux, bien que les gauchistes (souvent des hommes) qui œuvrent pour la lutte des classes soient tout autant brise-ovaires. Les autres luttes ne servent à rien car si on ne se bat pas pour sauvegarder notre environnement, on crève tous ? Oh bah… Désolée de le dire, mais va pour qu’on crève tous. Hors de question que je me batte pour tenter de préserver un système d’oppression qui sera à mon désavantage. Et comme certains ne veulent pas y réfléchir, bah… Crevons tous. Ça peut paraître sévère, mais ça m’est égal. Le foutage de gueule, ça va bien deux secondes.

Si je ne peux pas danser à la révolution, je n’irais pas à la révolution.

Merci à Emma Goldman d’avoir exprimé cette idée de manière bien plus jolie que moi (mais la même intention y est).

Pour que le moins de monde possible souffre, il faut, en même temps que se battre pour un monde où on pourra gérer le mieux possible ce qui va nous tomber dessus (c’est trop tard, le changement climatique et le reste sont en cours, autant apprendre à faire avec), faire s’effondrer un système d’oppression, et le pire de tous, le système capitaliste (mais pas que celui-là, les fachos et autres autoritaires de mes deux veillent). Donc il faut prendre en compte les autres, se battre pour eux, plutôt que de ne penser qu’à sa gueule, qui est souvent notre premier réflexe à tous ? (moi compris, jusqu’à ce que ça cogite dans le cerveau)

Et après cette réalisation ?

J’ai déchanté quand j’ai compris que les oppressions étaient considérées au second plan, voire balayées d’un revers de la main. Je crois que la confirmation définitive est venu d’un J-terre sur Youtube parlant des actions collectives plus radicales… et qui s’est transformé en une apologie de la non-violence. Je ne suis pas pour la violence envers autrui (je l’exècre même, comptez sur moi pour avoir une réaction assez vive si je me retrouve face à des gens qui appellent à ce genre d’actes) mais je ne suis pas du genre à tendre l’autre joue, donc si on m’attaque, je me défends (Albert Camus aussi, ce n’est pas le pacifiste pur et dur que certaines personnes croient).

J’ai lu cet article sur la collapsologie qui m’a bien fait comprendre que mes quelques doutes n’en étaient pas. Je vous le conseille à 1000% pour bien cerner les écueils de ce mouvement (j’en rajoute une couche en disant que la remise en question est quasiment inexistante chez ces gens, en plus d’être un milieu assez fermé, et après ça se plaint de se faire traiter de secte…). Je vous conseille aussi les deux derniers articles de ce site par rapport à la crise du coronavirus qui tranche par rapport à l’urgence et l’immédiateté de certains dans son analyse…

Comme même Cyril Dion l’a dit dans son livre (Petit manuel de résistance contemporaine, je vous le conseille malgré ses défauts et ma grande méfiance de l’homme, en particulier avec ce post Instagram), il faut agir collectivement. Et pas que dans des associations écologistes car, comme je l’ai dit, ce n’est pas le seul problème à régler. Choisissez la lutte pour laquelle vous vous sentez de vous battre et n’oubliez juste pas les autres. Vous pouvez vous trouver sur deux fronts en même temps, ou juste militer sur le plan de votre vie personnelle et virtuelle. Tout dépend de la situation dans laquelle vous vivez. Pour moi, sans rentrer dans les détails, ce n’est pas facile…

Même sans militer, il faut de toute façon lire sur des sujets sociaux en plus des analyses scientifiques du contexte climatique catastrophique. Sinon, les mêmes erreurs que maintenant et qu’auparavant se reproduiront. D’ailleurs, la photo que j’ai prise n’est pas un hasard : je n’ai pas tout lu dessus mais j’espère que vous avez bien remarqué la diversité de ce que j’ai lu et de ce que je vais lire.

Et j’aurais tendance à dire qu’il faut éviter de trop aduler des gens. C’est ce qui m’a permis de prendre du recul par rapport à Pablo Servigne et au reste des collapsologues : peu prennent en compte les problèmes sociaux et sociétales dont j’ai rapidement parlé dans les paragraphes précédents et ils vous enjoignent même à oublier tout ça pour qu’on s’unisse tous et qu’on survive ensemble.

Mais comme je l’ai montré, on n’a pas tous les mêmes moyens d’agir, donc on ne sera pas ensemble. Qui est inclus dans cet « ensemble » ? Des gens assez privilégiés pour agir. Je ne cherche pas à vous culpabiliser si vous pouvez faire ça (franchement, tant mieux) et que vous prenez en compte d’autres problématiques dans vos questionnements et dénonciations. Mais vous savez que ce n’est pas la majorité de ces personnes qui sont concernées, alors je suis obligée de généraliser.

Et maintenant ?

Je n’ai pas trop apprécié la réflexion de Cyril Dion dans son livre où il disait qu’à force de réfléchir derrière un livre ou un ordinateur, on allait finir par crever. Pas tout à fait d’accord, même si je reconnais que le passage à l’action est urgent. Mais en attendant, celles et ceux qui agissent ne réfléchissent pas trop et on tombe dans les pièges que j’ai dénoncé. Donc la remise en question est inexistante, merci mais non merci.

Je ne sais pas trop vers où me diriger : je sais que ce genre d’associations tolère ces défauts-là, qu’elles acclament des gens qui font beaucoup, certes, mais qui sont louches (Paul Watson, Roger Hallam). Le malthusianisme, ça vous paraît cool ? Que l’espèce humaine (qui n’est pas réductible à un groupe homogène, soi-dit en passant) serait un « problème » alors que c’est surtout le capitalisme qui en est un, ainsi que toutes les oppressions ? Ça n’a pas l’air d’en déranger certains qui vont vous dire que c’est « dérangeant » mais que bon, faut bien faire avec, faut bien faire quelque chose… Grâce à eux, le fascisme a de beaux jours devant lui.

Je n’ai pas de solution à apporter mais très clairement, faut apprendre à ce que notre empathie ne se réduise pas qu’à un seul domaine et à ne pas laisser notre intolérance aller bon train pour le reste. Donc oui, je continue à réfléchir. Oui, je continue à lire. Et vous devriez en faire autant.

7 réflexions sur “Mon évolution sur le sujet de l’écologie

  1. Article super interessant et je rejoint en tout point 💚 C’est pour ces raisons que je me suis éloignée du militantisme en général d’ailleurs… Personnellement, niveau écologique je fais ce que je peux et en attendant d’avoir un jardin je saoule ma mere pour qu’elle installe hotel à insecte, plante pour les abeilles, etc. (ce qui a fonctionné d’ailleurs 💛 prochaine etape, lui faire installer un hôtel à chauve souris 😂)
    Du coup voilà, je fais ce que je peux à mon niveau et j’avoue essayer de mettre de côté les inquiétudes écologiques, car souvent je me sens dépassée et ça finit par me déprimer…

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    • Merci beaucoup ! Je me dis que je ne vais pas non plus m’arrêter à agir comme je le peux (s’ils sont pas contents, c’est pareil) mais il faut vraiment qu’ils se remettent en question, ces gens. De toute façon, vu leurs actions, ça n’ira pas loin…
      Je comprends que ça te dépasse, j’ai parfois des coups de mou, ça m’est déjà arrivée durant ce confinement de prendre deux jours où je me fermais complètement au monde extérieur. Et là, tu fais ce que tu as envie, loin des jugements ! Ca fait du bien, ça te requinque et tu es à nouveau prête pour casser des têtes.

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  2. Il est toujours très intéressant de constater que ces personnes militantes sont très souvent des hommes blancs CSP+. Les collapsologues me gavent. Biensûr que notre monde s’arrêtera un jour. Il suffit de regarder l’Histoire de notre espèce et ensuite celle de la planète. Rien n’est éternel. De toute façon, on meurt tous un jour.
    Moi je pense qu’il faut avant toute chose être en accord avec soi même. Evidemment aller chercher mon pain à pied, cela ne va pas changer la face du monde mais c’est comme le flocon. Il n’est pas ce manteau blanc qui recouvre les montagnes… et pourtant.
    Moi je suis partisane de faire ce qui nous convient le mieux c’est à dire en fonction de ses besoins, de ses capacités, de ses valeurs… Et tout ça dans l’esprit de faire profiter tout le monde.
    Aller au fin fond de la campagne pour sauver sa petite gueule ? Il est où le bien commun ?

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    • C’est vrai, ce sont souvent des hommes qui prennent la parole… Pas sûr que la proportion homme/femmes dans le mouvement soit en leur faveur par contre. Beaucoup de femmes se plaignent de la charge mentale supplémentaire que ça implique… (sous-entendu : à part bavasser, le mari ne fait pas grand-chose concrètement)
      Perso, je suis d’avis d’être un peu plus sévère avec soi-même, tout en étant conscient qu’on ne peut pas tout faire et de ne pas se culpabiliser pour ça. Il n’y a pas que l’écologie qui influe sur nos modes de vie…
      Mais grave ! Ca parle de solidarité mais ça se la joue solo, sans moi.

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  3. Merci pour cet article!
    Pour ma part je pense qu’il y a plusieurs moyens d’agir individuellement et collectivement ( le plus efficace étant le collectif bien entendu).

    Au niveau de l’individu, j’ai lu quelques livres sur le zéro déchets ( le plastique c’est pas systématique) j’ai bien aimé car l’autrice raconte un peu comment petit à petit elle en ai venu à ça et comment ça marche etc.Après c’est plutôt des astuces sur des blogs ou en discutant avec des ami(e)s de leurs habitudes (lacavore, achat de fairphone, etc) Si déjà en tant que consommateur on modifie nos habitudes, les grands groupes verrons qu’ils perdent de l’argent. C’est pas tout les jours facile (la mise en pratique peut être très délicates parfois) mais on y gagne je pense.
    Individuellement il y a des toutes petites choses possible mais je pense que si tout le monde met un petit peu ça va faire un gros peu 😉

    Pour ce qui est du collectif, c’est nos choix au niveau des urnes qui vont jouer. Faire partie d’association aussi peut être une bonne choses comme Potager partager, les associations de cycliste pour promouvoir le vélo plutot que la voiture, les AMAP etc.

    Je te recommande pas du tout les collapsologues par ce qu’ils ne proposent rien pour améliorer les choses.

    Au niveau documentaire: J’avais vu Demain et Après demain. C’est intéressant de les voir l’un après l’autre car ça donne des bonnes idées et derrière ça critique aussi le qu’est ce qui faut faire pour que ça marche dans la durée?
    Une vérité qui dérange (c’est un peu vieux mais bon je pense que ça doit rester relativement d’actualité)

    Bon courage dans cette quête 🙂

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    • Merci pour ton commentaire !

      En effet, si le pan collectif est le plus efficace, le pan individuel l’est aussi. Apprendre par toi-même à agir correctement, ça permet d’être cohérent avec ses valeurs ! Et puis, il doit y avoir des exceptions qui pensent qu’elles savent déjà tout, mais tu as toujours une marge d’amélioration, ce qui entretient l’ouverture d’esprit. (l’esprit critique, ça dépend…)

      Pour le pan collectif, c’est juste mon opinion mais je pense que plus rien ne peut se jouer dans les urnes (et ça ne se réduit pas qu’à l’écologie). Par contre, je suis d’accord avec toi pour les associations ! Celles que tu cites me semblent très bien, j’aimerais m’investir là-dedans un de ces jours (ma vie actuelle est plan-plan mais compliqué quand même).

      Je n’avais pas apprécié le documentaire Demain à cause de son aspect trop développement durable sur certaines initiatives (c’est quelque chose en laquelle je ne crois pas) mais en effet, il a ça de positif qu’il appelle à une action nécessaire. Ce genre d’appels est plus fréquent aujourd’hui mais à l’époque de la sortie du documentaire, c’était assez rare d’avoir un tel message dans un média aussi regardé.

      Et merci !

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